Publié le
July 15, 2025

Gestion de crise dans le marketing d’influence : que faire quand une campagne tourne mal ?

L'Influence Marketing est devenue un levier incontournable pour capter l’attention des consommateurs et renforcer la crédibilité des marques. Mais lorsqu’une campagne tourne mal, l’impact peut être immédiat, viral… et potentiellement dévastateur. Mauvais choix de KOLs (Key Opinion Leaders), polémique inattendue, prise de parole maladroite ou timing malheureux : les scénarios de crise sont nombreux et parfois difficiles à anticiper. Pour les marques et e-commerçants qui investissent sérieusement dans l’influence, il est essentiel de comprendre comment réagir rapidement, limiter les dégâts, et tirer les bonnes leçons. Car bien gérée, une crise peut aussi devenir un moment de vérité et de transformation positive.

Illustration 3D du tableau de crise et de reprise après crise.
Illustration 3D du tableau de crise et de reprise après crise.

Points-clés à retenir

  • Une crise dans l’influence peut surgir à tout moment : mauvais choix de KOL, polémique inattendue ou prise de parole mal calibrée peuvent sérieusement nuire à l’image et à l'e-réputation d'une marque, 
  • Les premières heures sont décisives : mettre en pause la campagne, coordonner une réponse claire et dialoguer avec les communautés sont des réflexes essentiels dans une gestion de crise efficace,
  • La prévention est un levier stratégique : due diligence sur les KOLs, clauses contractuelles, suivi post-campagne et veille réputationnelle permettent de limiter les risques en amont, 
  • Une influence bien gérée repose sur des outils adaptés : elle ne se résume plus à de la visibilité, mais engage la crédibilité de la marque à chaque étape.

Qu'est-ce que le marketing de crise dans le contexte de l'Influence Marketing ?

Le marketing de crise, appliqué à l’influence, désigne l’ensemble des actions mises en place par une marque pour gérer une situation de communication sensible ou dommageable, directement liée à une campagne avec un KOL (Key Opinion Leader). Ces situations peuvent inclure un bad buzz, une polémique liée à l’influenceur, ou une réaction négative du public face à un contenu ou un positionnement.

Dans ce contexte, le marketing de crise ne se limite pas à une réaction de communication. Il s’agit d’une approche globale, qui mobilise à la fois :

  • la communication de marque (prises de parole publiques),
  • les relations avec l’influenceur concerné,
  • la modération des commentaires,
  • et parfois des décisions commerciales (suspension de campagne, rupture de contrat…).

L’objectif est double :

  1. Limiter l’impact négatif immédiat sur l’image de la marque,
  2. Protéger la confiance des audiences à long terme.

Le marketing d’influence étant fortement lié aux émotions, aux valeurs et à la perception d’authenticité, il est particulièrement sensible aux crises. D’où l’importance, pour les marques, de ne pas improviser et de disposer d’un cadre clair en amont comme en aval.

Quand une campagne d'influence tourne mal : prévenir et gérer la crise

L’Influence Marketing repose sur la confiance. Celle que les consommateurs accordent à un créateur de contenu, et par extension, à la marque qui collabore avec lui. Pourtant, cette confiance peut être fragilisée en un instant. Bad buzz, révélations post-campagne, propos polémiques, contexte sociopolitique tendu… autant de facteurs qui peuvent faire basculer une campagne d’influence bien pensée en véritable crise d’image.

Des risques multiples pour les marques

Même les collaborations les plus cadrées ne sont pas à l’abri d’un dérapage. Parmi les scénarios les plus fréquents :

  • Un mauvais choix de KOL, dont les valeurs réelles ou comportements passés s’avèrent incompatibles avec l’image et les engagements de la marque. Une simple vidéo ou ancien post peut suffire à déclencher une vague de critiques,
  • Des révélations post-campagne, concernant par exemple les conditions de travail au sein de l’entreprise de l’influenceur, des propos ou comportements problématiques passés, ou encore des pratiques commerciales contestées, 
  • Une prise de parole incontrôlée, inappropriée ou mal calibrée face à un sujet sensible (actualité, mouvements sociaux, conflits). Ce type de sortie peut exposer à une double peine : discrédit personnel du KOL et remise en question de la marque associée, 
  • Un mauvais timing, où la campagne est lancée alors que le climat politique ou social rend le message inopportun, voire choquant pour certaines communautés, 
  • Un contenu mal interprété par la communauté, que ce soit à cause d’un manque de contexte, d’une formulation maladroite ou d’un détournement viral sur les réseaux, 
  • Un décalage entre les valeurs affichées par la marque et les actions du KOL, qui peut être perçu comme de l’opportunisme ou du « purpose washing » par le public, 
  • Un effet backlash spontané, souvent imprévisible, lié à la perception d’un trop-plein d’influence, de manque de sincérité ou de surreprésentation d’un message marketing jugé déplacé.

Ces situations peuvent rapidement s’envenimer dans un environnement digital où les réactions se propagent en temps réel. Elles engendrent non seulement une perte de crédibilité, mais exposent aussi la marque à :

  • des appels au boycott,
  • une détérioration durable de son image,
  • une perte de chiffre d’affaires directe ou indirecte,
  • une remise en question interne de ses processus de collaboration avec les KOLs.

La vigilance, l’analyse du contexte et la capacité à anticiper les signaux faibles deviennent donc des impératifs dans toute stratégie d’influence sérieuse.

Étude de cas : Djerf Avenue, la chute d’une image parfaite

Le cas de Matilda Djerf (2.7M d'abonnés sur Instagram), influenceuse suédoise à la tête de la marque Djerf Avenue, illustre la brutalité d’un retournement d’opinion en pleine lumière médiatique.

En décembre 2024, le média suédois Aftonbladet diffuse une enquête vidéo dans laquelle onze anciens ou actuels salariés dénoncent un environnement de travail toxique au sein de l’entreprise. Les témoignages évoquent des brimades, des humiliations, des propos grossophobes et une pression psychologique permanente, en totale contradiction avec les valeurs d’inclusivité et de bienveillance promues par la marque. « Chaque jour dans cette entreprise était un nouveau traumatisme psychologique », confie une ex-employée. Une autre affirme avoir été contrainte de récurer les toilettes personnelles de la fondatrice.

Ce scandale a provoqué une onde de choc sur les réseaux sociaux. Sur TikTok, les appels au boycott se sont multipliés et les critiques ont entaché durablement la réputation de la marque, jusque-là portée aux nues pour son esthétique scandinave minimaliste et ses engagements supposés.

Matilda Djerf n’a pris la parole publiquement que cinq jours après la révélation de l’affaire, dans un long message Instagram dans lequel elle reconnaît ses erreurs : « Je n’étais pas prête. Je n’avais jamais dirigé une équipe. [...] Sous la pression et par naïveté, j’ai échoué à être la leader que je voulais être ». Elle promet des actions correctives, dont le recours à un spécialiste RH externe. Une réponse jugée tardive par une partie de sa communauté.

Le poids du contexte : l’exemple d’Isabeau Delatour

Plus récemment, en mai 2025, Isabeau Delatour, influenceuse française aux 924K d'abonnés sur Instagram, s’est retrouvée au cœur d’une polémique suite à la réapparition d’une ancienne story dans laquelle elle exprimait son soutien à Israël après les attaques du 7 octobre 2023.

Dans un contexte de tensions extrêmes autour du conflit israélo-palestinien, cette publication a été perçue comme une prise de position politique et a déclenché une vague de désabonnements et d’appels au boycott. Plusieurs marques ont suspendu leur collaboration avec elle. 

@isabeau.delatour

Je sais qui je suis, je sais ce que je vaux, je sais ce que je pense et je suis entourés des meilleurs personnes aux monde, c'est tout ce qui compte ❤️❤️

♬ Originalton - Lyric Songs

Isabeau a tenté d’éteindre l’incendie à travers plusieurs messages, expliquant que sa réaction initiale était « humaine » et « émotionnelle » face à une tragédie, et réaffirmant son opposition à toute forme de violence. Malgré cette prise de parole, la crise a continué à enfler, révélant une fracture durable entre l’influenceuse et une partie de son audience.

Quelles leçons à tirer ?

Ces deux affaires montrent à quel point les marques ne peuvent plus se contenter d’une simple analyse de la portée ou de l’esthétique d’un KOL. Elles doivent anticiper les signaux faibles, évaluer les risques de réputation et prévoir des scénarios de gestion de crise. Collaborer avec un influenceur, c’est aussi assumer une part de son image publique — et potentiellement de ses zones d’ombre.

Ce partenariat implique une forme de responsabilité partagée : ce que dit ou fait un KOL rejaillit directement sur la marque, et inversement. Il ne s’agit plus simplement de louer une audience, mais d’associer deux identités de manière stratégique.

Il est illusoire de vouloir tout maîtriser, mais les marques qui s’en sortent le mieux sont celles qui disposent de scénarios de réponse, de lignes rouges claires et d’une organisation prête à réagir sans improvisation. La clé n’est donc pas de viser le risque zéro, mais d’être capable d’agir vite, avec transparence et cohérence.

Les 5 réflexes à adopter en cas de crise d'influence

Lorsqu’une campagne d’influence tourne mal, les premières heures sont décisives. Entre accélération virale des réactions en ligne et pression de l’opinion publique, la manière dont la marque réagit peut soit contenir la crise, soit l’amplifier. Voici cinq réflexes à adopter pour garder le contrôle.

1. Mettre en pause les campagnes en cours si nécessaire

Lorsqu’une polémique éclate, il est parfois indispensable de suspendre temporairement les activations en cours, surtout si elles impliquent directement le KOL concerné. Continuer à diffuser des contenus promotionnels dans un climat tendu peut être perçu comme de l’indifférence ou du déni et nuire davantage à la crédibilité de la marque.

Cette mise en pause doit être réfléchie, proportionnée et, si possible, accompagnée d’une prise de position claire en interne. L’objectif n’est pas de réagir dans la précipitation, mais d’éviter tout effet d’entraînement sur d’autres campagnes en cours.

2. Coordonner une réponse rapide et transparente

En situation de crise, le silence prolongé est rarement une bonne stratégie. Les internautes n’attendent pas une réponse parfaite, mais une posture claire, humaine, et cohérente. Cela implique de coordonner rapidement un message entre les équipes communication, marketing, juridique et social media.

Ce message doit :

  • reconnaître les faits si ceux-ci sont avérés,
  • assumer une part de responsabilité quand la marque a failli,
  • exposer les premières mesures prises.

L’objectif est d’instaurer une forme de transparence maîtrisée : dire ce que l’on sait, ce que l’on fait, et ce que l’on va faire, sans surpromettre ni dévier la faute.

3. Évaluer les risques et adapter la prise de parole

Toutes les crises ne nécessitent pas la même intensité de réponse. Une analyse de l’ampleur, de la source et du niveau de viralité de la crise permet de choisir la meilleure posture :

  • Prise de parole proactive (via un post, un communiqué, une vidéo),
  • Réponse ciblée aux commentaires ou publications critiques,
  • Silence stratégique, dans certains cas, lorsque les faits sont mineurs ou en voie d’extinction.

Ce discernement est crucial. Une réaction trop agressive ou mal calibrée peut alimenter la polémique. À l’inverse, une absence de réaction face à un sujet sensible peut être interprétée comme du mépris.

4. Dialoguer avec les communautés concernées

La gestion de crise ne se joue pas uniquement dans les médias ou les réunions internes : elle se joue là où la crise a éclaté, le plus souvent sur les réseaux sociaux. Il est donc essentiel d’écouter, répondre et dialoguer avec les communautés concernées, sans tomber dans la justification systématique.

Cela suppose :

  • de bien identifier les profils affectés (clients, abonnés, minorités visées, activistes,...),
  • de distinguer les critiques constructives des commentaires malveillants,
  • de montrer que l’on est à l’écoute, même si l’on ne peut pas répondre à tout.

Cette écoute active permet de réduire la tension, reconstruire la confiance, et parfois même retourner une partie de l’opinion.

5. Tirer des leçons pour l’avenir

Enfin, toute crise doit servir d’alerte pour renforcer les processus. Il est indispensable de faire un retour d’expérience structuré, avec les équipes internes comme avec les partenaires externes. Parmi les bonnes pratiques à mettre en place :

  • Revoir les critères de sélection des KOLs, en intégrant une analyse plus qualitative de leurs valeurs, de leur historique, et de leur niveau de controverse,
  • Intégrer des clauses contractuelles spécifiques, incluant des mécanismes de désolidarisation en cas de comportements problématiques,
  • Documenter les réactions à la crise pour créer une base de référence en cas de futur incident,
  • S’équiper d’outils de veille et d’analyse pour détecter plus tôt les signaux faibles (alertes mentions, monitoring réputationnel, scoring d’affinité).

En transformant une crise en opportunité de renforcement, la marque prouve sa capacité à évoluer et à réaffirmer ses engagements de manière crédible.

Comment prévenir les crises dans l'Influence Marketing ?

Gérer une crise est indispensable. Mais l’anticiper, c’est mieux. Aujourd’hui, les marques ne peuvent plus se permettre de collaborer avec des KOLs sans un minimum de préparation stratégique et opérationnelle. La prévention passe par un cadre clair, des outils adaptés et une culture du “risk management” appliquée à l’influence.

Mener une due diligence approfondie sur les KOLs

Choisir un KOL ne devrait jamais reposer uniquement sur la taille de sa communauté ou l’esthétique de son contenu. Une vraie due diligence implique une analyse approfondie de son positionnement, de sa réputation et de ses prises de parole passées :

  • Quels sujets traite-t-il régulièrement, et comment ?
  • A-t-il déjà suscité des controverses ou des réactions polarisantes ?
  • Comment son audience interagit-elle avec lui (ton, attentes, niveau de loyauté ou de critique) ?
  • Ses valeurs et son univers sont-ils réellement compatibles avec ceux de la marque ?

Ce travail d’analyse ne se limite pas à un audit ponctuel : il doit s’inscrire dans une approche continue et structurée du sourcing et de la collaboration.

Prévoir des clauses de retrait et de désolidarisation

Les crises les plus dommageables sont souvent celles dans lesquelles la marque se retrouve liée contractuellement à un KOL sans possibilité de retrait rapide. Pour l’éviter, il est essentiel d’intégrer dans les contrats :

  • Des clauses de retrait unilatéral, en cas de comportements nuisibles ou d’atteinte à l’image,
  • Des clauses de désolidarisation publiques, qui permettent à la marque de communiquer clairement en cas de crise sans être contrainte par un accord de confidentialité,
  • Des conditions de contrôle éditorial, notamment sur le message, le ton, et les plateformes utilisées.

Travailler en amont avec des juristes spécialisés ou des agences expérimentées dans l’influence permet de sécuriser ces aspects sans alourdir la relation avec le créateur.

Maintenir un suivi actif post-campagne

Une fois la campagne lancée, le travail ne s’arrête pas. Le monitoring post-publication est une étape souvent négligée, alors qu’elle est clé pour anticiper les retombées :

  • Analyser les commentaires, mentions et partages associés à la campagne,
  • Identifier les signaux faibles (rejets, critiques, ironie, détournements),
  • Garder une veille sur les évolutions d’image du KOL, même après la fin de la collaboration.

Cette vigilance permet d’ajuster rapidement la communication en cas de dérapage latent, avant qu’il ne devienne viral.

S’équiper d’outils d’analyse adaptés

La prévention passe aussi par la technologie. Des solutions technologiques spécialisées en Influence Marketing comme Kolsquare permettent d’aller au-delà du simple matching KOL-marque en offrant :

  • Une analyse fine de la qualité de l’audience (fake followers, géographie, âge, intérêts),
  • Des indicateurs de réputation digitale ou de niveau de controverse, 
  • Un historique consolidé des collaborations précédentes, pour anticiper les risques d’image par association.

En s’appuyant sur ces outils, les marques peuvent structurer leur stratégie d’influence avec une approche plus rigoureuse, plus durable et moins exposée.

Prévenir les crises d’influence et les potentiels bad buzz, ce n’est pas éliminer tout risque, c’est apprendre à les anticiper, les encadrer et y répondre avec agilité. Cela implique de professionnaliser la sélection des KOLs, de poser des bases contractuelles solides, de maintenir un suivi rigoureux, et de s’appuyer sur des outils d’analyse adaptés. En intégrant ces pratiques à leur stratégie d’influence, les marques s’offrent une marge de manœuvre précieuse face aux imprévus. Car dans un écosystème aussi rapide et exposé que celui de l’influence, la meilleure gestion de crise reste encore celle qu’on évite.

Conclusion

À mesure que l'Influence Marketing gagne en maturité, les attentes du public et des internautes évoluent : transparence, alignement des valeurs, authenticité. Dans ce contexte, les marques ne peuvent plus se contenter d’opérations opportunistes. Elles doivent envisager chaque campagne comme un partenariat à double sens, exposé, potentiellement risqué mais aussi générateur de valeur à long terme.

Et pour cause, face aux crises et aux bad buzz, la réactivité et la cohérence sont essentielles. Mais la véritable force réside dans la capacité à intégrer la prévention dans chaque étape du processus : choix des KOLs, cadrage contractuel, suivi post-campagne, pilotage de la réputation.

S’entourer des bons outils et des bons partenaires devient alors un levier stratégique. Des solutions comme Kolsquare permettent justement de professionnaliser cette approche, en croisant performance, affinité de valeurs et maîtrise du risque.

Dans un paysage où chaque publication peut devenir virale en quelques minutes, une influence bien gérée n’est pas seulement un atout marketing, c’est une question de crédibilité.

A propos de Kolsquare

Kolsquare est la première plateforme européenne de marketing d'influence, offrant une solution basée sur les données qui permet aux marques d'étendre leurs stratégies de KOL (Key Opinion Leader) marketing grâce à des partenariats authentiques avec des créateurs de premier plan.

La technologie avancée de Kolsquare aide les professionnels du marketing à identifier de manière transparente les meilleurs créateurs de contenu en filtrant leur contenu et leur audience, tout en leur permettant de construire, de gérer et d'optimiser les campagnes d’influence du début à la fin. Cela inclut la mesure des résultats et l'évaluation des performances par rapport à la concurrence.

Avec une communauté mondiale florissante d'experts en marketing d'influence, Kolsquare sert des centaines de clients - dont Coca-Cola, Netflix, Sony Music, Publicis, Sézane, Sephora, Lush et Hermès - en s'appuyant sur les dernières technologies de Big Data, d'IA et de Machine Learning. Notre plateforme s'appuie sur un vaste réseau de KOLs avec plus de 5 000 followers à travers 180 pays sur Instagram, TikTok, X (Twitter), Facebook, YouTube et Snapchat.

En tant que société certifiée B, Kolsquare montre la voie en promouvant l'influence responsable et en défendant la transparence, les pratiques éthiques et les collaborations qui inspirent un changement positif.

Depuis octobre 2024, Kolsquare fait partie du groupe Team.Blue, l'une des plus grandes entreprises privées de technologie en Europe, et un acteur digital de premier plan pour les entreprises et les entrepreneurs à travers l'Europe. Team.Blue rassemble plus de 60 marques à succès dans les domaines de l'hébergement web, du e-commerce, de la conformité en ligne, de la génération de leads, des solutions d'application et des médias sociaux.